Label de transparence 2024 pour La France Mutualiste

La transparence est une valeur cardinale dans le secteur de l’assurance vie. Attribué pour un an par le jury des Coupoles de l’audace, le label transparence est un marqueur d’une démarche globale de transparence vis-à-vis de nos adhérents, prospects et partenaires.

Label transparence

Qu’est-ce que la transparence en assurance vie ? 

Comme le rappelle le ministère de l’Économie dans une communication du 3 février 2022, la transparence « doit nourrir une plus grande concurrence, pour diversifier plus encore les offres proposées aux épargnants ».

Cette meilleure transparence des frais a donc pour double objectif de : 

- rendre les frais des contrats d’assurance vie et d’épargne plus accessibles et compréhensibles afin que toute personne puisse en comprendre la nature et le niveau ; 

- standardiser la présentation des frais afin que les clients puissent comparer plus facilement les différentes offres du marché.

Transparence et frais 

La transparence passe en premier lieu par les frais. Les acteurs du monde financier sont ainsi tenus de rendre visible l’ensemble de leurs frais sur leur site internet par des tableaux normés. 
Retrouvez par ce lien les tableaux relatifs aux frais appliqués aux contrats d’épargne de La France Mutualiste. 
La France Mutualiste a fait le choix en 2023 de supprimer ses frais sur versements sur tous ses contrats d’épargne retraite. De même, elle a supprimé les frais d’arbitrage sur le contrat d’assurance vie multisupport Actépargne2.

La transparence des frais de nos contrats 
d’épargne-retraite

Découvrir nos frais

Transparence de l’offre financière

La notion de transparence va bien au-delà de l’affichage des frais liés aux contrats d’épargne retraite. 
En 2022, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire déclarait à propos de la création du plan d’épargne retraite que « face au maquis antérieur des produits d’épargne retraite, nous avons fait le choix, avec la loi Pacte en 2019, de créer un produit simple, standardisé et avantageux sur les plans fiscaux et patrimoniaux : le plan d’épargne retraite. » La clarté de l’offre est donc cruciale, car comme le dit l’investisseur star Warren Buffet, « le risque provient de ne pas savoir ce que l’on fait. » 
Justement, la création du PER est un bon exemple de simplification, et donc la transparence de l’offre financière : « Cela fait trente ou quarante ans qu’il existait des contrats de retraite, comme le rappelle Nicolas Flambeaux, expert du secteur épargne à La France Mutualiste. Le PER a permis de corriger tous les défauts des contrats précédents. Aujourd’hui c’est un produit abouti qui permet de favoriser la capitalisation de l’épargne, et la souplesse sur la sortie. Cela explique son succès actuel et, je n’en doute pas, à venir. »

A quoi sert un PER individuel ?

Découvrir le contrat PER individuel de La France mutualiste :

LFM'PERFORM

Transparence et investissement durable 

La finance durable est un enjeu de développement essentiel pour l’avenir de la finance, de l’épargne... et bien sûr de la transition écologique. Aussi, la transparence des acteurs dans ce domaine est très suivie par les autorités régulatrices.

La recommandation de transparence pour lutter contre l’éco-blanchiment 

Dans sa recommandation 2022-R-02 du 14 décembre 2022 sur la promotion de caractéristiques extra-financières dans les communications à caractère publicitaire en assurance vie l’autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) aborde la question de la transparence comme solution contre l’éco-blanchiment, cette méthode de marketing qui consiste à communiquer en utilisant l’argument écologique de manière trompeuse : « L’ACPR observe en particulier un risque d’exposition de la clientèle à des pratiques dites « d’éco-blanchiment » contrevenant à l’obligation de délivrer à la clientèle une information claire, exacte et non trompeuse lui permettant d’appréhender la composition réelle des produits et d’apprécier l’approche extra-financière effectivement retenue. »

La transparence pour organiser et promouvoir la finance durable 

Les investisseurs institutionnels et privés ont besoin de lisibilité et de transparence pour évaluer la caractère durable de leurs investissements. Le règlement européen SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation, autrement dit, « règlement sur la publication d'informations en matière de durabilité ») entré en vigueur le 10 mars 2021 a harmonisé et renforcé les obligations de transparence applicables aux acteurs qui commercialisent certains produits financiers ou qui prodiguent des conseils sur ces produits. L’enjeu de la compréhension de la réglementation SFDR par les épargnants est essentielle, car elle les aide à évaluer l’action des investisseurs institutionnels en matière de finance responsable. Dans cette réglementation, les fonds* sont classés en 3 volets : l’article 6, l’article 8 et l’article 9. Cette classification, et donc la transparence qu’elle implique, permet de répondre à cette question essentielle pour les épargnants : « Comment évaluer si un investissement est responsable ? » C’est déjà beaucoup, non ?

*Selon le Conseil d’Etat, un fonds se définit par la structuration d’un « véhicule » ayant pour objet la mutualisation d’actifs financiers en vue d’investir collectivement dans des titres, et dont la gestion est assurée par une entité tierce, dénommée société de gestion.